Bien sûr, tout le monde sait que les cheval use ses sabots trop rapidement sur sol dur, qu’il a peu d’adhérance sur sol mou, le trouve douloureux à marcher sur les cailloux et gravillons et va probablement soufrir des tendons abîmés. Chaque maréchal-ferrant vous expliquera ça, ensemble avec beaucoup de vétérinaires et autres professionels dans la fraternité équine.
Et poutant, il y a un mouvement, de plus en plus actif, vers les pieds nus. Pourquoi?
Un tel de nos croyances se trouve dans les habitudes. En risquant de dévier du sujet, pensez-vous pour un instant à deux autres «règles» par rapport le travail aves les chevaux:
on monte TOUJOURS côté gauche et jamais côté droite.
on mène TOUJOURS côté gauche et jamais côté droite.
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Bien sûr, ceux sont de règles très astuces, raisonnable et irréfutable – pour un cavalier armé d’une grande épée à la hanche gauche! La seule raison on évite de monter à droite aujourd’hui, c’est parce que notre cheval n’est pas habitué à ça – et peut-être ça veut dire qu’il faut apprendre. Apès tout, si on se trouve dans une situation où monter à gauche ne soit pas possible…
Et le cheval mener? Encore cette épée encombrante. Sans elle, on est libre de marcher de chaque côté de notre cheval et, comme monter, le terrain peut dicter où vous devrez marcher.
J’ai été moniteur des cavaliers handicapés. Les séances avaient lieu le plupart du temps dans une carrière et bien sûr, les chevaux tournaient autant de circuits droites que gauches. Mais pour les meneurs – nécessaire pour beaucoup de cavaliers qui ne pouvaient pas prendre leurs chevaux en charge, marcher entre le cheval et le mur de la carrière n’est pas seulement dangereux, c’était strictement interdit; être coincé entre le mur et un Frison de 650kg n’est pas désirable. Et le responsable de la santé et de la sécurité ne l’aime pas non plus.
Les chevaux sont bien content d’être mener côté droite.
Qu’est-ce que ça nou veut dire? Simplement que nous accédons aux traditions et pas au bon sens.
Si on regard les chevaux féraux, ils n’ont pas de fer, il peuvent marcher (/trotter/galoper) sur les grandes distances avec peu de problèmes de pied.
Donc pourquoi pas le cheval domestic?
C’est vrai que le cheval domestic ne vit pas sauvage et il n’a pas l’usure des pieds associées aux chevaux féraux, mais ça ne dit pas que notre cheval domestic ne peut pas être pied nu. Au contraire, le cheval domestic couvre les distances très limitées et donc encore plus de raison d’être pied nu – ses sabots seront certainement pas usés trop rapidement!
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On regarde les arguments encore une fois:
Usure sur sol dur: les parties du sabot le plus importantes, par rapport au contact au sol, sont la fourchette et les glomes, et la structure sous-jacente qu’elles protègent. Cette structure est le coussinet digital et solicité suffisamment, ce coussinet s’agrandit (presque sans exception, les chevaux ferrés ont des coussinets digitaux bien atrophiés). Les structures extérieurs se développent en couche épaisse et protectrice.
L’adhérence sur sol mou: en cheval expérience autant d’adhérence sur sol mou sans fers que avec. Effectivement, la combinaison du mécanisme du sabot et une fourchette bien développée peut donner une meilleure adhérence que le fer conventionnel. La seule exception est le fer avec des crampons; une solution utilisable dans les circonstances très contraintes. Il ne faut jamais utiliser les crampons sur sol dur car ils réduisent l’équilibre et adhérence à un niveaus très dangereux où le risque de se trouver avec les articulations et les tendons abîmés est fort augmenté. Sur sol mou, le problème ne se présente pas sauf quand on rencontre un cailloux ou dans un virage trop rapid. Encore une fois, le risque pour les articulations et les tendons est bien augmenté.
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Les douleurs quand on marche sur les cailloux et gravillons: comme les humains – en fait, comme chaque animal – c’est le travail qui créer une peau dure (les maçons ne sont pas nés avec les mains calleux!) L’exposition régulier au sol dur, avec un bon mécanisme de sabot augmenté, encouragera la fourchette, les glomes et la sole en générale à durcir; le cheval domestic, comme son congénère le cheval féral, ne trouvera plus de problème avec ce type de surface.
Un cheval sans fers est un accident de tendon en attente: justement, l’inverse est vrai. Les tendons sont extrêmement forts; dans les circonstances naturelles, ils sont difficiles à endommager. Où ils souffrent, c’est quand ils subissent un effet de fouet. Comme peut dire presque chaque sportif qui a subit cette blessure, la cause n’est pas en raison d’étirement mais justement un mouvement subit. Chez le cheval, ce mouvement subit se trouve surtout dans les antérieurs quand le membre s’avance et just avant d’atterrir; le dernier coup du sabot donne cet effet de fouet. Le cheval sans fers a peu de moment dans le sabot à ce moment là – le sabot bien taillé encore moins à cause d’être plus court – et ça ne présente aucun problème, mais le poids d’un fer, qui double le poids du sabot, accentue l’effet fortement. Vous pouvez essayer l’effet vous-même – essayez de courir avec une paire de chaussures de sécurité d’une pointure trop grosse!
Tous ces points sont discutés indiviuellement ailleurs sur ce site et beaucoup d’autres.