Le cheval sauvage n’a pas besoin de fers, ni parage ou entretien. Par l’usure naturelle et le mécanisme bien réglé du sabot, ces choses sont inutiles.
Malheureusement, le cheval domestique est rarement soumis à l’usure intense du cheval sauvage; toutefois, cela ne signifie pas que les sabots ont besoin de protection supplémentaire – censé être fournie par le fer à cheval omniprésent – plutôt que l’usure naturelle du cheval sauvage a besoin de faire des émules.

Maréchaux-ferrants traditionnelles parent sabots en préparation pour la ferrage; dans la plupart des cas, ils appliqueront exactement les mêmes techniques lors de l’entretien des pieds nus. Ce ne fait pas émuler le sabot sauvage en quelque sorte, mais plutôt maintient la configuration défavorable du sabot ferré.

Pourquoi défavorable ?
Tout d’abord, la configuration du sabot ferré est une mise en forme artificielle du sabot pour se conformer à un fer. Il n’y a aucune prise en compte de la forme de la plante, l’action de la fourchette ou encore la fonction des parois du sabot; le sabot est simplement débité comme si pour ferrage qui signifie que la paroi reste qui dépasse des dessous de la plante et la fourchette est coupé en forme de V soignée.
Deuxièmement, l’angle du pied, lorsqu’il est tronqué pour ferrage, est apparenté à talons hauts. Comme presque n’importe quelle femme sera en mesure de vous dire, se promener sur de hauts talons pour une grande longueur de temps n’est pas propice au confort, et encore moins saine cheville, du genou et articulations de la hanche, pour ne pas mentionner les problèmes de dos qu’ils sont souvent la cause. Ajouté à cela, le troisième phalanx (l’os dans le sabot) est déclenché au niveau du talon, mettant la pression sur l’extrémité du pied. Nous rencontrerons ce problème encore si l’on considère le traitement de la fourbure.

La paroi n’est pas une structure de mise en charge. Sa forme, et celle du pied entier, montrer tout autre argument pour être incorrect. Sous les structures externes du pied, la paroi, la sole, la fourchette et les glômes, sont trois structures principales: la troisième phalange (P3), le coussinet plantaire et ce que nous appelons le coussinet périphérique. La troisième phalange appuis à la derrière et assiste la balance à l’avant. Le coussinet plantaire se trouve sous la fourchette et les glomes et il amortit et magasine l’énergie créé à l’atterrissage. Le coussinet périphérique est une structure minimale sur laquelle pas un mot n’est dit dans les manuels malgré qu’il apparaît dans tous les dissections. Le coussinet périphérique existe à amortir la périphérie du sabot lors d’un contact au sol. Cette structure minimale porte le poids de l’impact lorsque le cheval est ferré. La paroi est une structure protectrice pour la troisième phalange et en même temps est un capteur sensoriel très important.

Un résultat commun de laisser les sabots déferrés, est bords ébréchés et se sépare de la paroi du sabot. En particulier ce dernier est l’argument plus favorisée pour (re) ferrage d’un cheval ; le fer protégera la paroi contre l’écaillage et particulièrement le fractionnement. Malheureusement pas de même; le montage d’un fer comporte des clous conduites vers le haut dans la ligne blanche et sortir par l’affaiblissement de paroi du sabot les deux structures – n’oubliez pas, la ligne blanche est le point où le sabot lui-même est lié à la troisième phalange. Lorsque nous effectuons l’entretien des maréchaux-ferrants – le « prairie trim » – nous ne prenons aucun en compte le fonction de la paroi. Pourquoi devrions-nous? La raison principale pour cette forme d’entretien est de faire des fers. L’ongle longue permet aux bactéries d’envahir la séparation qui se forme dans la ligne blanche; cette problème se perpétue parce que les bactéries détruisent la ligne blanche et ainsi agrandir la fissure… Lorsque la fourchette et les glomes sont les surfaces de contact plus importants, et pas la paroi, une simple excision des bactéries par l’application d’un entretien hygiénique arrêtera la problème. L’entretien hygiénique est seulement la suppression de la paroi excès et des cavités.

On peut mieux décrire « L’entretien nature consciente » comme « l’entretien scientifiquement motivées » car il tient compte de la composition biologique du sabot et comment il a évolué selon les lois de la physique. C’est une approche bio-mechanique (relativement simple) qui est prouvé par des études scientifiques.